à dire rapidement, d'une traite et avec l'accent espagnol :)
Je viens de passer 3 bonnes heures avec la famille de Bruja et c'était très bien. Mais revenons à jeudi soir...
Ma journée de boulot s'était terminée tard pour que le programme du vendredi soit plus light (malinotte la fille :) ). A peine le temps de rentrer avant l'action des amis de la terre... la lumière est revenue sans encombre, il ne s'est rien passé de terrible comme l'avait prédit les éminents spécialistes mais "c'est parce que tout avait été prévu pour que le pire ne se produise pas!!" dixit les oiseaux de mauvaise augure.
Juste le temps de me changer avant que Finou ne passe me chercher pour la soirée d'au revoir (j'aime pas les adieux) de Pssssssst et de Bruja. Dès que nous sommes arrivées, j'ai eu droit à un tas de réflexions parce que j'avais troqué ma mini jupe pour un jean... Mais tant pis, je n'avais pas envie de passer ma soirée à faire attention mais à m'amuser.
Nous avons passé une bonne soirée, pizza, musique et rigolade, entre gens du boulot... puis nous sommes partis terminer la soirée dans un bar en ville mais en comité très restreint puisqu'il y avait école le lendemain.
Dodo à 2h30... à 7h00, le reveil a fait entendre sa douce voix.
La fatigue bien visible sur mon visage (même après la douche, rien à faire les paupières étaient toujours lourdes), j'arrive au boulot terminer le programme lancé sur Harry, deux jours avant.
Tout s'était bien passé, pas de crise existencielle... j'adore quand un plan se déroule sans accroc (comme dirait le célèbre philosophe Hannibal Smith :p )
Entre midi et deux c'est badminton... courageuse, j'y vais me dépenser et pour une fois on a un volant neuf... ben, ça donne un rythme rapide d'échange et le rose sur les joues (en plus des cernes violettes) a fait son apparition. J'ai un certain style (style certain c'est au choix) en arc en ciel...
L'après midi a été très très longue... j'étais exténuée, même des clients avec qui je fais souvent l'andouille (étonnant non?), m'ont demandé ce que j'avais et que je n'étais pas drôle... Harry avait fini son boulot mais après analyse des résultats (malgré son fonctionnement impeccable, je peux pas toujours l'accuser) tout est à jeter ou presque... dommage mercredi, des clients viennent et comptent sur ce boulot normalement parfait.
Glurps, j'ai quitté le bureau assez tôt, de toute façon je ne peux rien y changer.
Début de week end classique, cette journée se déroule entre grasse matinée, visionnage de séries (même en VO, je crois que je suis accro :) ), ménage, téléphone et sortie. A 18h, Bruja m'a appelée pour déposer des affaires chez moi. Ces parents ont venus pour l'aider à déménager son appart avant son retour en Espagne mais il possible qu'elle revienne bientôt... je l'espère, en fait.
Je sais, c'est égoïste mais c'est la seule qui propose de sortir sur semaine pour aller boire un verre ou papoter. Ca permet de décompresser au lieu de rentrer chez soi et s'enfermer en attendant que la soirée passe. La mentalité française est étonnante. Quand on dit qu'on est sorti, on nous demande pourquoi on a pas proposé et quand on propose de sortir, tout le monde a toujours mieux à faire (souvent les excuses sont bancales mais on est pas là pour forcer les gens)... étrange attitude.
Toujours est il, qu'elle est passée avec ses parents puis on est tous partis en ville. On s'est baladé dans les rues de Toulouse avant d'aller se poser dans un café. Le début de la discussion a été hésitant de mon côté. Quand j'étais à Tarragone, ça me paraissait plus facile, au milieu d'espagnols, j'étais obligée de m'y acclimater rapidement... question de survie pour la bavarde que je suis. Au milieu de Français, c'est plus difficile mais j'ai cédé, j'ai fait plein de fautes et j'en avais rien à faire... ils ont corrigé et compris, notre papotage s'est avéré très instructif, le papa de Bruja a une connaissance de l'histoire très étendue et ça force l'admiration d'une inculte telle que moi. Nous avons encore été les derniers à quitter le café... le temps passe vite quand on ne s'ennuie pas.
J'ai deux voyages de prévus pour les mois prochains, un à Madrid et l'autre à Tarragone. Nous nous sommes quittés sur des notions de français qui paraissent surréalistes au espagnols et sur les expressions que Bruja m'a apprises comme celle mise dans le titre :)
On s'est quitté avec le sourire et sur un "à bientôt" bien réel.
Et sinon? quel est le programme pour demain? on verra bien :)
Je viens de passer 3 bonnes heures avec la famille de Bruja et c'était très bien. Mais revenons à jeudi soir...
Ma journée de boulot s'était terminée tard pour que le programme du vendredi soit plus light (malinotte la fille :) ). A peine le temps de rentrer avant l'action des amis de la terre... la lumière est revenue sans encombre, il ne s'est rien passé de terrible comme l'avait prédit les éminents spécialistes mais "c'est parce que tout avait été prévu pour que le pire ne se produise pas!!" dixit les oiseaux de mauvaise augure.
Juste le temps de me changer avant que Finou ne passe me chercher pour la soirée d'au revoir (j'aime pas les adieux) de Pssssssst et de Bruja. Dès que nous sommes arrivées, j'ai eu droit à un tas de réflexions parce que j'avais troqué ma mini jupe pour un jean... Mais tant pis, je n'avais pas envie de passer ma soirée à faire attention mais à m'amuser.
Nous avons passé une bonne soirée, pizza, musique et rigolade, entre gens du boulot... puis nous sommes partis terminer la soirée dans un bar en ville mais en comité très restreint puisqu'il y avait école le lendemain.
Dodo à 2h30... à 7h00, le reveil a fait entendre sa douce voix.
La fatigue bien visible sur mon visage (même après la douche, rien à faire les paupières étaient toujours lourdes), j'arrive au boulot terminer le programme lancé sur Harry, deux jours avant.
Tout s'était bien passé, pas de crise existencielle... j'adore quand un plan se déroule sans accroc (comme dirait le célèbre philosophe Hannibal Smith :p )
Entre midi et deux c'est badminton... courageuse, j'y vais me dépenser et pour une fois on a un volant neuf... ben, ça donne un rythme rapide d'échange et le rose sur les joues (en plus des cernes violettes) a fait son apparition. J'ai un certain style (style certain c'est au choix) en arc en ciel...
L'après midi a été très très longue... j'étais exténuée, même des clients avec qui je fais souvent l'andouille (étonnant non?), m'ont demandé ce que j'avais et que je n'étais pas drôle... Harry avait fini son boulot mais après analyse des résultats (malgré son fonctionnement impeccable, je peux pas toujours l'accuser) tout est à jeter ou presque... dommage mercredi, des clients viennent et comptent sur ce boulot normalement parfait.
Glurps, j'ai quitté le bureau assez tôt, de toute façon je ne peux rien y changer.
Début de week end classique, cette journée se déroule entre grasse matinée, visionnage de séries (même en VO, je crois que je suis accro :) ), ménage, téléphone et sortie. A 18h, Bruja m'a appelée pour déposer des affaires chez moi. Ces parents ont venus pour l'aider à déménager son appart avant son retour en Espagne mais il possible qu'elle revienne bientôt... je l'espère, en fait.
Je sais, c'est égoïste mais c'est la seule qui propose de sortir sur semaine pour aller boire un verre ou papoter. Ca permet de décompresser au lieu de rentrer chez soi et s'enfermer en attendant que la soirée passe. La mentalité française est étonnante. Quand on dit qu'on est sorti, on nous demande pourquoi on a pas proposé et quand on propose de sortir, tout le monde a toujours mieux à faire (souvent les excuses sont bancales mais on est pas là pour forcer les gens)... étrange attitude.
Toujours est il, qu'elle est passée avec ses parents puis on est tous partis en ville. On s'est baladé dans les rues de Toulouse avant d'aller se poser dans un café. Le début de la discussion a été hésitant de mon côté. Quand j'étais à Tarragone, ça me paraissait plus facile, au milieu d'espagnols, j'étais obligée de m'y acclimater rapidement... question de survie pour la bavarde que je suis. Au milieu de Français, c'est plus difficile mais j'ai cédé, j'ai fait plein de fautes et j'en avais rien à faire... ils ont corrigé et compris, notre papotage s'est avéré très instructif, le papa de Bruja a une connaissance de l'histoire très étendue et ça force l'admiration d'une inculte telle que moi. Nous avons encore été les derniers à quitter le café... le temps passe vite quand on ne s'ennuie pas.
J'ai deux voyages de prévus pour les mois prochains, un à Madrid et l'autre à Tarragone. Nous nous sommes quittés sur des notions de français qui paraissent surréalistes au espagnols et sur les expressions que Bruja m'a apprises comme celle mise dans le titre :)
On s'est quitté avec le sourire et sur un "à bientôt" bien réel.
Et sinon? quel est le programme pour demain? on verra bien :)