Quatrième de couverture :
Mariée depuis dix ans à un homme qui ne la connaît qu’à moitié, Jeanne n’en peut plus d’être « la femme de… ». Violette s’efforce d’élever sa fille sans faire les mêmes erreurs que ses parents. Natacha, incapable d’avoir des enfants, doit se convaincre que l’on peut être femme sans être mère. Trois amies, trois femmes contemporaines, décryptées avec tendresse par celle qu’on a surnommée la Bridget Jones française. On sourit, on s’émeut, on s’inquiète : impossible de ne pas se retrouver dans ce livre.
Mon avis :
J'ai lu le précédent ("Ce crétin de Prince Charmant"), le titre et la couverture m'avaient bien plu, l'histoire moins et la fin encore moins... Pour celui là, je me suis encore faite avoir par la couverture qui reflete les premières pages du livre. J'avais pas remarqué que la fille blonde au premier plan faisait la tête. Deux cents pages (environ), où on se frotte aux problèmes de ces trois filles, mariées et tristes de l'être... Des filles frustrées par les réactions de leur entourage (leurs mecs, parents, entourage) qui ne s'en sortent pas et qui finalement ne se connaissent pas si bien que ça.
On découvre brievement le point de vue des hommes vers la fin du bouquin et c'est bien dommage que ça ne soit pas arrivé plus tôt et que ce ne soit pas plus régulier parce que ces minettes, elles m'ont saoulées!!! :)
Tout ne termine pas mal mais il n'empeche que c'est bof. Voilà
J'ai commencé ce matin "Le magasin des suicides" (Merci Madi), il m'a donné la pêche jusqu'à la descente du métro mais c'est déjà une autre histoire...